L’arrivée matinale est déjà un plaisir des yeux

Hermine vient d’arriver en stage. C’est à son tour de nous aider à ranger le bois.

Vous vous souvenez qu’au printemps, il fallait sortir la terrasse du restaurant ?

Et bien maintenant il faut la ranger pour l’hiver. Mais d’abord, un coup d’éponge sur les tables…

Le restaurant ferme jusqu’au printemps prochain… Adieu les frites du snack, bonjour le potage du Toutounier !

Sous le regard curieux de Mika, la girafe… Si, si, regardez bien, au fond, derrière la terrasse !

Un coup de Karcher sur les chaises, et zou, c’est propre ! Mais il y en a beaucoup, ça prend des heures … et même plusieurs jours à tout faire !

Quel drôle de stage ça fait !

Il commence à faire frais le matin.

Les premières gelées arrivent déjà.

En toute saison c’est magnifique !

Ce serait dommage de ne pas en profiter. Alors on met de grosses chaussettes dans nos bottes et on sort quand même !

Ça tombe bien, il y a encore plein de choses à découvrir…

… et à faire !

Nous avons découvert un superbe triton marbré. C’est une espèce protégée.


… et toujours le bois à aller chercher …

Le chantier du Toutounier avance bien. Nous aménageons l’extérieur.

A l’intérieur, c’est l’électricien qui travaille.

Ah, bien c’est déjà mieux comme ça, on progresse … et c’est pas fini !

Au comptoir ou devant le feu de cheminée, le café réchauffe le cœur !


On joue en s’instruisant sur la vie des animaux. Et on se repose aussi.

Le figuier a perdu ses feuilles, mais tous les fruits sont restés dans l’arbre. Jérôme, le jardinier, nous a expliqué que cela pouvait être à cause des gelées. Tant pis pour les confitures, on garde les pots pour l’année prochaine.

Tiens … c’est quoi là, au milieu des branches ? Ce ne serait pas un nid ? On a demandé à Ronan, le fauconnier. D’après lui, c’est un nid de pigeons.

Il n’y a pas que les capucins qui aiment les noix. Paco et Tina, les deux aras bleus et jaunes, en raffolent aussi. Ronan nous permet de leur en donner.


Pandora, la chienne basset fauve de Bretagne a eu des petits. Elle nous laisse les câliner.

Elle en veut aussi.

Par contre, on ne câline pas les lions ! Mais on va quand même toujours les voir, dans leur enclos. Jusqu’au printemps prochain, ils n’auront plus d’autres admirateurs que les salariés du zoo … et nous !